SOS/ /Les insondables et tristes REALITES DE de l’affaire ‘’TIGRE DE LA REVOLUTION’’.

Plus le temps passe, plus les Togolais se rendent compte que

Il est né dans le mois de novembre 2019, une nébuleuse histoire du nom de ‘’Tigre de la Révolution’’. Nous avions suivi cette affaire à rebondissement car dès ses débuts, notre rédaction y a joué un rôle en investigation. Grâce à ces investigations, précédemment détenus en clandestinité au camp des Gardiens de Préfecture, sous tortures, les prévenus sont déplacés à la prison civile de Lomé où les parents peuvent les visiter et contribuer à leur donner les soins quand les gardiens des lieux le permettent. On attribue la paternité de ce dossier à rebondissements à une fausse accusation entretenue pour la cause voulue. Grâce à Dieu, grâce à nos modestes écrits, les bourreaux sont obligés de déplacer à la prison civile de Lomé, leurs victimes. Elles peuvent recevoir de la visite et un minimum de soins de santé. Les Déplacés reçoivent donc un traitement plus humain, toutefois, plusieurs y sont déjà morts. Certains sont arrivés en prison malades, mais peuvent au moins recevoir la visite, de la nourriture et une assistance médicale des parents quand le pénitencier l’accepte. Le dossier tigre avait tout d’un montage d’Etat, comme récemment confirmé par le parlement de l’Union Européenne après ses investigations.

 l’affaire Tigre est une histoire à faire dormir débout qui est attribuée à un certain TOURE Madjidou dit ‘’Master Tiger’’.

Il lui est reproché de nourrir des desseins lugubres en voulant déstabiliser le pays par des actes insurrectionnels. Annoncé tambours battants sur les réseaux sociaux, comme une vulgaire pièce de théâtre, peu avant son prétendu passage à l’acte, l’opinion a commencé par émettre des réserves sur le supposé auteur qui revient à la charge et martèle sur sa bonne foi, avec les menaces à l’appui. Mais très tôt, les Togolais ont vu en lui un émissaire d’une bande de barons qui a des intérêts à utiliser cette prétentieuse déstabilisation à des fins personnelles.

Dans la nuit du 23 novembre 2018, le réseau ainsi annoncé, drôle de façon de préparer une révolution, est passé à l’acte. Le Ministre de la sécurité d’alors, YARK A. Damhame, présente les supposés auteurs le lendemain. De rebondissements en rebondissements, l’affaire continue par faire des victimes et ceci doit interpeler un journaliste. Au moins une bonne cinquantaine de jeunes a quitté le pays, un nombre similaire en prison actuellement avec la plupart malades. Nous avons mené notre petite investigation que nous avions bien portée à la connaissance du grand public. En effet, d’après les autorités togolaises, « un individu vivant en Belgique du Nom de Abdoul Madjid Touré ambitionne avec son groupe de semer le désordre et renverser les institutions de la République. Ça devait être très facile si le projet avait réussi au vu de tout ce qui a depuis lors échoué. C’est ce qui est servi, en tous cas, ce qui est servi au public quand bien même l’opinion a des raisons de penser à un montage dont Abdoul-Madjid, consciemment ou inconsciemment, est un manipulé qui devait jouer le premier rôle. Cette nuit du 23 novembre 2018, les prétendus tigres sont passés à l’acte. L’épicentre de l’attaque était sous le pont aérien abusivement appelé ‘’échangeur d’Agoè’’ à Lomé. Toutefois, le projet déjà bancal est passé à l’exécution cette nuit comme un éléphant qui décide de faire les dégâts avec son pied déjà cassé. En réalité, quelques jours avant le passage à l’acte, la plupart des jeunes qui, dans un premier temps se sont laissés emballés ont senti l’odeur d’un traquenard surtout après le passage à l’acte, la légèreté des instruments de guerre présentés au public a renforcé la conviction de l’opinion qui croit à un funeste montage. En termes de dégâts, on parle de plusieurs morts dont un parmi les soldats en service régalien cette nuit, un autre parmi les prétendus assaillants. Comme trophée de guerre, on présente des armes retirées aux forces de l’ordre. Comme par enchantement, aux forces de l’ordre pourtant connues pour leur légendaire bravoure dans la défense de la monarchie des GNASSINGBE. L’engouement que les monteurs de la scène ont attendu n’a pas été au rendez-vous cette nuit. La plupart de ces jeunes attendus sur le site de l’attaque se sont retirés et ont même pris la poudre d’escampette, même si certains seront arrêtés dans les jours qui suivent. Ils sont arrêtés essentiellement pour avoir appartenus aux forums du groupe tigre même s’ils se sont retirés avant le passage à l’acte. La nuit de ce fameux passage à l’acte, même ceux qui continuaient à croire en la sincérité du sieur ‘’Master Tiger’’ ont compris qu’il faut se réserver. Alors la nuit de la supposée attaque, seul un groupuscule surexcité est sorti pour répondre au supposé plan d’attaque. Des coups de feu provenant beaucoup plus d’ailleurs que de ces jeunes, sous le pont d’Agoè ont obligé tous les noctambules qui squattent ces zones à déserter les lieux. D’après les témoins rencontrés suite à notre investigation, à la grande surprise, c’est une bande de plus de 200 individus en tenue noire disséminés par petits groupes qui ont attaqué avec des armes à feu les environs de l’échangeur. Aux premiers coups de fusils, tout le monde a pris le large. Dans la foulée, un jeune qui qui continuait à croire aveuglement au plan tigre a reçu des balles. Il va beaucoup saigner au niveau de la cuisse. Ce jeune qui se trouve être un petit frère à l’ancien entraineur M. Abraw Samer est donc mort par hémorragie après que son frère, KALABANI Afissou lui aussi Tigre, l’ait trimballé vainement d’une clinique à l’autre sans espoir de le lui sauver la vie. Après sa mort, le corps du défunt Abraw Abdoulaye a continué sa traversée du désert. L’endroit pour garder le cadavre le temps de préparer l’inhumation était un problème. Aucune mosquée ne voulait garder un corps qui peut s’avérer encombrant dans les jours à venir. Le cadavre finit par atterrir en famille au domicile de de l’ancien entraineur de football Abraw Samer à Kégué. Musulman tout comme le jeune défunt, ce dernier n’a pas trouvé d’inconvénient à conduire à sa dernière demeure son jeune frère fauché par les balles d’une opération que l’opinion estime cousue de fil blanc. Après l’inhumation, la maison funèbre sera quadrillée et passée au peigne fin manu militari, par les forces de l’ordre. On accuse le père de famille, M. ABRAW Samer de s’être précipité pour enterrer son petit frère qui aurait pu passer à l’autopsie. Le petit frère qui a passé une partie de sa vie estudiantine sous son toit lui crée problème et, dans la foulée, l’ancien entraineur est menotté. Dans la perquisition, tout ce qui est trouvé était des gadgets de campagne du régime. Même s’ils n’ont pas eu le courage de l’exposer,

les forces de l’ordre ne sont tombées que sur des gadgets de campagne d’Unir comme révélé dans nos colonnes précédentes. Une fois l’opération échouée et les agitateurs aux arrêts, chacun des commanditaires, civils comme militaires, de cette farfelue attaque a pris ses distances du montage qui a été en deçà des attentes. Chacun avait peur d’intervenir là où on parle de ‘’tigre’’, au risque d’être dévoré. Alors, le projet n’avait plus de parrain connu sauf ce farfelu d’Abdoul Madjid dit ‘’Master Tiger’’ qui vit en Belgique et que les autorités du pays préfèrent regarder de loin alors qu’il pouvait être extradé au Togo tel que nous avions souhaité dans nos écrits pour des raisons d’enquête.

Il faut arrêter ceux qui, dans un premier temps avaient appartenu aux groupes WhatsApp du tigre même si par après la plupart s’est retiré de ces groupes surtout après les avertissements de l’Imam Alfa Hassane de Sokodé. Alors, sans faire de bruits, on commence à arrêter les jeunes. Ainsi le père de famille Salifou Moustapha, soudeur tôlier de profession, est arrêté à son domicile à Akato.

Au moins 300 jeunes ont quitté le pays pour être en lieu sûr. Tantôt au Ghana, tantôt au Bénin, au Mali ou encore au Burkina-Faso. Fâcheusement, pour eux, certains comme nous le disions dans la toute dernière Edition, vont être arrêtés dans ces différents pays où ils croient trouver refuge, puis ramenés dans cette prison. Le cas de l’audionneur alias vis-à-vis qui sera arrêter dans un village au Ghana tout récemment et conduit à la prison civile de Lomé. Une prison de triste renommée qui broie ses détenus. Actuellement, contre cette prison de Lomé, c’est le cas Aziz GOMA qui occupe l’actualité au point d’alarmer le parlement européen tout entier dans comme le confirme un communiqué de l’Union Européenne que nous avion publié l’édition passée au journal et ceci pour dénoncer la détention de Abdoul Aziz GOMA à la prison de Lomé au Togo Autre ceux qui sont récemment morts comme Wawing KAROU, il y a aussi ce citoyen d’origine togolaise, Jean Paul OUMOLOU et bien d’autres. Si tu les interroges, ils ne savent pas l’accusation qui les garde en détention, mais ils y meurent à petit feu. Ils n’ont pas l’union européenne pour demander leur libération. Certains comme l’artiste chanteur Fadel WATARA sont en train d’y mourir aussi sur une chaise roulante. En butte à de fausses promesses de libération malgré la décision de la CEDEAO, et d’un magistrat au tribunal de Lomé, il se nourrit de fausses promesses de libération malgré les démarches dociles et silencieuses de ses parents. Triste pays. M. OUMOLOU Jean Paul ne sait pas par quelle magie il s’est retrouvé au Togo et actuellement détenu en prison. Arrivé au Togo en vacances tout comme le surnommé Le Guide, ils deviennent prisonniers. La liste est longue et dans une ancienne Edition, nous en publions une liste partielle de ceux qui depuis ce macabre montage sont détenus en prison à Lomé. Les informations sur les réseaux sociaux viennent de montrer un certain Azi Mensah. Ce Togolais kidnappé dans un restaurant au Mali, gardé dans un camp militaire pendant deux semaines, puis en fin transféré à la prison de Lomé selon son propre témoignage.

Actuellement, ces montages du TIGRE ont pris une dimension internationale et les citoyens qui meurent en détention ne laissent pas indifférente la communauté internationale. L’exemple d’actualité est le cas AZIZ GOMA. Ceci occupe l’actualité au point d’alarmer le parlement européen comme vous avez lu  dans  le dans la parution dernière au sujet de nombreux cas similaires à celui de ABOUDOUL AZIZ GOMA à la prison de Lomé au TOGO. Autre ceux qui sont récemment morts comme Wawing KAROU, il y a aussi ce citoyen togolais Jean Paul OUMOLOU et bien d’autres. Si tu les interroges, ils ne savent l’accusation qui les garde en détention, mais ils y meurent à petit feu, ils n n’ont pas l’union européenne pour demander leur libération Le cas comme celui de l’artiste chanteur FADEL WATARA qui sont en train de mourir sur une chaise roulante. En butte à de fausses promesses de libération bien qu’il nous a fait savoir qu’en dehors d’un juge du tribunal de Lomé, il a vu n’a rien vu bouger de sa situation malgré les démarches dociles et silencieuses de ses parents. Triste pays.

Oumolou Jean Paul, on ne sait pas par quelle magie il s’est retrouvé au Togo et actuellement détenu dans cette prison qui broie ses détenus.

Dans une ancienne Edition, nous vous publions une liste partielle de ces détenus qui meurent à la prison civile de Lomé. Les cas de certains nous a interpelé encore, voici cette liste de jeunes qui est en train de s’éteindre à petit feu à la prison Lomé dans l’indifférence totale :

Voici la liste actualisée partielle des détenus du Tigre :

1- FADEL Ouattara (Artiste engagé), né les 12 mais 1994, arrêté le 25 novembre 2019

2 -Moussa Fousseni

3- Kpadja Moutadiou

4 -Fofana Baba-Sani,

5-YACOUBOU Moutawakilou, SG Pnp Kpalimé

6- Alassani Moutala, né en 1986, arrêté le 29 novembre 2019

7- Abevi Abdoul Razak, né le 22 juillet 1975, arrêté le 05 décembre 2019

8- Sebabe Esso Baba Daro, né le 21 mars 1983, arrêté le 30 novembre 2019

9- Ali Amedjoa Aboudou Kerim né le 31 décembre 1985, arrêté le 28 novembre 2019

10- Issaka Ganiou né le 26 mars 1981, arrêté le 26 novembre 2019

11- Salifou Moustafa, né le 09 juillet 1979, arrêté le 28 novembre 2019

12 -ATI Razak, né en 1995, arrêté le 02 décembre 2019

13- Ouro Gouni Moutala

14 – Ouro-longan Abdel né en 1979, arrêté le 25 novembre 2019

15 – Alassani awali né le 08 août 1994, arrêté le 25 novembre 2019

16 – Domassi Yaovi, arrêté le 28 novembre 2019

17- Gokoyou Roufayi, dit one day, né en 1965, arrêté le 01 décembre 2019

18 -Kerim Gafarou, né le 31 décembre 1991, arrêté le 29 novembre 2019

19 -ABOUBAKAR Nazif, né le 06 juillet 1986, arrêté le 28 novembre 2019

20 -AZOUMA Foudou, né le 10 Juillet 1981, arrêté le 05 décembre 2019

21 – Ouro Gnao Bassirou, né le 28 septembre 1990, arrêté le 03 décembre 2019

22 – Agokpa Ezi, né le 07 janvier 1973, arrêté le 04 décembre 2019

23-Djima Massahoudou, né en 1982, arrêté le 03décembre 2019

24- Keliba kassimou, né le 04 avril 1975, arrêté le 06 décembre 2019

25- Boukari Gawilou né en 1981, arrêté le 06 décembre 2019

26- Sidi Touré Abdoulaye né en 1984, arrêté le 07 décembre 2019

27 – Adrigna Rachid ne le 21 octobre 1995, arrêté le 10 décembre 2019

28- Tchagnaou Abou Bakar, né en 1996, arrêté le 4 novembre 2019

29- Inoussa Housseni, né en 1992, arrêté le 10 décembre 2019

30- Traore Housseni Alpha soudou, né en 1980, arrêté le 23 décembre 2019

31- Tchabana Mounirou né le 18 Juillet 1974, arrêté le 18 décembre 2019

32- Amidou idrissou dit kinaou

33- Djokoto Komlan, né le 21 juillet 1992, arrêté le 06 décembre 2019

34- Sékou kossi né en 1988, arrêté le 11 décembre 2019

35- Kalambani Affissou, né le 31 décembre 1993, arrêté le 26 novembre 2019

36- Tchatacora Aboudoubaki, né le 23Aout 1983, arrêté le 5 Janvier 2020.

37- Tagba Djafarou, né le 06 octobre 1981, arrêté le 23 novembre 2019

38- Ouro Atchounou Assoumanou, né le 31 décembre 1986, arrêté le 23 novembre 2019

39-Bouraima kamilou ne le 22 Février 1981, arrêté le 16 janvier 2020

40- Abrangaou Youssaou, né en 1983, arrêté le 21 janvier 2020

41- Tchatikpi Aboubakar, un responsable du PNP

42- Zakariyaou Amidou

43- Tchawissi Rafiou, né en 1990, arrêté le 24 novembre 2019

44- Zayini kassimou arrêté le 24 novembre 2019

45- Adam Abdul Manaf, en 1978, arrêté le 04 février 2020

46- Koriko Nouridine

47- Ouro Mou Rahim né en 1977, arrêté le 05 février 2020

48- Alidou Alassani, né en 1985, arrêté le 25 Janvier 2020

49- TRAORÉ Leyla

50- BATCHA Laminou

SALIFOU MOSTAPHA, c’est le frère d’ADAM ABOUDOU Sakourou, Ce dernier est l’un des audioneurs aux temps chauds de la crise togolaise. Il s’est longtemps caché au Ghana avant de disparaître. Il devrait être arrêté avec son ami et parent Sakourou le même jour mais ce dernier n’était pas à la maison. Cette absence lui a épargné de la prison où croupit actuellement son frère. Les sources proches de ses parents sont restées inquiètes sur le vrai sort et la destination du fugitif ADAM Sakourou, le second de Moustafa saifouu.

La rédaction

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